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S’il y a une seule chose que je devais retenir de mon cours d’Analyse des pratiques -cours que je suis en ce moment à l’UQAM en compagnie des autres stagiaires-, c’est que souvent lorsqu’une problématique émerge c’est parce que l’approche d’intervention -ici en l’occurence, l’approche de réduction des méfaits- n’est pas respectée ou pas correctement circonscrite, ou encore confrontée à une autre approche qu’on mobilise sans nécessairement s’en rendre compte. Ici l’approche de réduction des méfaits semble peut-être devoir être précisée à nouveau en termes de son application concrète sur le terrain, et afin également que les pratiques des divers intervenants puissent s’uniformiser. Dans le cas de ce résident, et alors que certains intervenants ont exprimé ne pas se sentir confortables à ne « rien » faire, ou agir comme si de rien n’était lorsque le résident ment de façon frontale et évidente tout en se mettant potentiellement en danger, il s’agit effectivement de réaffirmer que réduction des méfaits ne veut pas dire absence totale de cadre - ce qui en effet reviendrait à du laxisme. Pour autant, il semble nécessaire de répéter que la réduction des méfaits est bel et bien la perspective mobilisée, et à cette égard certaines démarches -par exemple demander un changement de prescription au médecin avec le désaccord du patient- iraient à son encontre notamment du fait de l’impact négatif sur le lien de confiance développée ; il semble que certains intervenants ont pu, sans le réaliser, privilégier une approche psychosociale -paradigme fonctionnaliste-.
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